🔊 Greez sauve de la poubelle les invendus de la cosmétique

En plus d'un an, Greez « a réussi à convaincre plus de 350 marques, revaloriser plus de 100 000 cosmétiques, soit 3 tonnes d’articles et rassembler plus de 10 000 clients. »

Logan Favier est le co-fondateur de la marque (dresse le bilan de cette première année d'activité). Problèmes de packaging, étiquettes mal collées, ou des soudures mal réalisées, surstockage, dates courtes ou collections anciennes, chez Greez ce n'est pas l'emballage qui compte mais le produit qui se trouve à l'intérieur. Un trésor parfaitement consommable qu'il serait irresponsable / regrettable de gaspiller. « La qualité n'est jamais impactée, le produit est toujours très bon. En fonction du défaut, on applique des réductions allant de -30 à -90%. »

Une alternative pour ces français qui se privent de produits d'hygiène

Selon une étude YouGov pour Greez (auprès de 1000 personnes) 68% des Français privilégient le prix dans leur décision d’achat de cosmétiques et quatre Français sur dix seraient prêts à faire des concessions sur la marque ou le packaging pour un prix plus bas. Greez offre une réponse aux marques qui souhaitent trouver une alternative à la destruction de ces produits et une solution concrète aux enjeux de pouvoir d’achat des clients. « Greez est d'autant plus pertinent quand on sait que 10% des français se lavent les dents sans dentifrices, 10% se lavent sans savon et que 1 Français sur 2 va renoncer à un produit de beauté ou de soins faute de moyen (Ifop, 2024) . »

Des « invendables » aux multiples débouchés

Plus de 350 marques font confiance au Too good, to go de la cosmétique prouvant le besoin grandissant des marques pour des solutions de revalorisation. Avec un chiffre d'affaires de 350 000 euros (2024), la start-up vient de lancer un appel de fonds. 500 000 euros ont été réunis pour embaucher deux personnes et trouver de nouveau partenaires. « Cette levée de fonds va permettre de nous développer plus rapidement, d'avoir une communication plus nationale. »